Roulio, de son vrai nom Roinita de Printemps, est une marseillaise expatriée dans la capitale après un séjour plus ou moins chaotique au Canada. Elle parle comme une poissonnière (mais maîtrise le Fourchelang quand elle est énervée), fait régulièrement des listes mentales pour tirer le bilan de sa vie, tente désespérément de faire taire Michael Jackson qui se met régulièrement à pousser la chansonnette dans ses pensées, et surtout s’active à trouver :
- un travail qui donne sens à sa vie (exemple : esthéti-hyène)
- l’homme de sa vie
- un moyen d’occuper Jeannette, grand-mère accro au Pastis et à la mauvaise charcuterie
- la solution miracle pour se débarrasser de son TOC qui consiste à arracher tout poil émergeant de son doux visage
Elle collectionne les surnoms, toujours affectifs et parfois vulgaires :
- Roulio de printemps
- Le Zan
- La gueuse
- Femme à barbe
- La chtiote
Voilà en quelques mots la situation dans laquelle on trouve Roulio au début du roman.
Je ne vous en dirai pas plus mais sachez que ce roman est :
- truculent
- jubilatoire
- loufoque
- ressemble à rien de ce que t’as jamais lu de ta vie
- drôle
- sans tabou
- une ode aux dentistes (non) et aux chats anti-couvre-chefs (non plus)
- aussi une encyclopédie des insultes les plus désuètes
- plutôt drôle
Puis si je t’ai pas encore convaincu(e) : imagine un feel-good-book mais en plus cash/trash. Ou cette pote qui perd tout filtre quand elle a forcé sur le vin. Voilà. Je te présente Roulio, ta nouvelle copine.