J’avoue (je vais me faire haïr par mes collègues libraires, bibliothécaires) : je n’avais jamais ouvert un livre de la collection « photo roman » des éditions Thierry Magnier jusqu’à celui-ci (ci-dessus / j’aime le titre ^^) et croyez-moi ou pas mais la collection n’a qu’à bien se tenir j’arrive et vais tous les dévorer les uns après les autres !
En effet j’ai vraiment beaucoup aimé ce roman photo, ses photos surréalistes de Quentin Bertoux, l’écriture discrète d’Eric Pessan, leur lien aussi… Auparavant je pensais qu’un auteur écrivait un texte qui était transmis à un photographe d’où le nom de la collection mais que nenni chers blogosmonautes, c’est l’inverse ! Ce qui rend le travail d’autant plus intéressant, riche, surprenant 🙂 Je n’ai pas envie de vous faire le pitch habituel : vous raconter la trame de l’histoire, non ! Je gâcherais c’est certain.
Un texte qui aborde la difficile réalité que traverse Max, notre ado-narrateur. Une réalité où il fait entrer le paranormal dans son quotidien. Où le pas normal le devient. Où tout ce qui était en place s’envole sans explication… Un texte qui je pense va beaucoup toucher (et aider !) les adolescents qui se réfugient la tête dans le seau pour ne pas vivre leur dure réalité !
Quelque chose de merveilleux et d’effrayant
Eric Pessan & Quentin Bertoux
Édition Thierry Magnier – coll Photo roman – 9 euros
5 commentaires
Je te rassure, Mel : les lecteurs de la bib ne les ouvraient pas non plus, du temps où j’y oeuvrais :-D. Mais ça va changer dorénavant, puisque tu es devenue leur grand gourou (non ? T’inquiète, ça va venir !). J’adore les photos, qui m’évoquent Magritte, et le « Il y a encore quelque chose qui cloche » de Guy Billout. Alleeeez, plein des bisous de Pâques !
Oui ! Magritte n’y est pas pour rien ^^ …
Et d’ailleurs je vois son travail d’un autre œil grâce au texte d’Eric Pessan depuis… Comment va toi ? Abus or not abus de chocolat, ça va l’estomac ? ^^ bisouilles
No chocolate for me this year, baby. J’essaie d’atteindre le zen ultime par le jeûne (en clair j’essaie de passer du stade de grosse vache à celui de vachette de compétition). Hasta luego, chiquita 🙂 !
No chocolate for me this year, baby. J’essaie d’atteindre le zen ultime par le jeûne (en clair j’essaie de passer du stade de grosse vache à celui de vachette de compétition). Hasta luego, chiquita 😉 !
Comment le simple fait de changer un accent a fait partir deux commentaires, ça …