Pour une fois (allez !), je vais vous raconter ne serait-ce que le début…
Le long d’une route de Louisiane, une femme. Dans l’une de ses main : sa fille, dans l’autre et sur son épaule, un sac poubelle avec toutes leurs affaires. Elles marchent. Où ? Quelle importance…
Un vieil homme s’arrête, elles montent dans la voiture. Il les déposera au prochain Motel. Avant de repartir il leur donne un billet. Une nuit. Une nuit au chaud, dans un lit. La fillette s’endort, la mère regarde par la fenêtre… De jeunes prostituées montent offrir quelques plaisirs aux routiers arrêtés là. À faire sa curieuse, elle se fera embarquer par un flic qui la prend également pour une pute (comment ça c’est cru ? En même temps je vous donne le ton). Il ne prend pas la direction du commissariat mais s’arrêtera au cœur d’une forêt. (J’vous fais un dessin ou bien…)
En parallèle, l’histoire de Russel. Après 11 ans d’emprisonnement, il revient dans sa ville natale où il pense avoir purgé sa peine…
Entre ces deux personnages, ces deux âmes perdues, leur rencontre se fera autour d’un meurtre.
Nulle part sur la terre parle d’un homme et d’une femme, attachants et sincères, marqués au fer rouge par la violence d’un passé, la difficulté à vivre d’un présent et… avec espoir d’un avenir moins terrible.
1 commentaire
Quelle « »lourdeur » » de traduction du livre »nulle part sur la terre’ par Pierre Demarty !!! Utilisation répétitive dans une même phrase de la conjonction »ET ». Exemple : » Ils s’installèrent sur les chaises de jardin ET Mitchell ouvrit la glacière ET sortit deux canettes de Coca ET posa la bouteille de whiskey sur ses genoux » Il y a des exemples comme cela toutes les pages et cela devient déplaisant à lire.
Il y a moyen d’alléger le texte : ils s’installèrent sur les chaises de jardin, Mitchell ouvrit la glacière, en sortit deux canettes de coca puis posa la bouteille de whiskey sur ses genoux »