Je referme ce roman, cette histoire, avec une tête de… Ahhh vous aimeriez bien savoir hein !?
Commençons par le début !
L’histoire de Nadejda (qui veut dire « espoir » en Russe), 6 ans, que tout le monde appelle Nana (comme nananananèreuuuh ^^) s’apprête à rentrer en CP. Sa grande sœur, qui en connait un rayon sur la grande école a beau la mettre en garde, Nanabébé (sa sœur l’appelle comme ça elle ^^) n’a peur de rien ! C’est pas une peureuse elle, pas un bébé ! C’est pas une dame pincée comme son chignon, aux ongles rouges qui va l’effrayer. En plus elle s’appelle un peu comme elle…
Bon ! Elle est vraiment sévère quand même. Faut l’dire ! D’ailleurs quand elle punit, Madame Bébé, « y a plus d’élèves au piquet que dans les classes ».
Au piquet, ça veut dire « interdit de bouger dans un coin de la pièce en regardant le mur ». Je ne comprends pas pourquoi ça s’appelle le « piquet ». Peut-être parce que ça pique. ça ne pique ni les pieds, ni les yeux, ni les mains ; mais ça pique le cœur parce que c’est injuste.
Mais « même pas peur » comme le disent les enfants.
Et puis un jour, Madame Bébé ne vient pas à l’école. Un jour, deux jours, une semaine.. Est-elle malade ? Elle est morte ?!… L’euphorie s’empare alors des enfants qui en profitent un max, surtout Nana.
Sauf qu’inconsciemment béh… Nana, peu à peu tombe malade. Que lui arrive-t-il ?
En voilà une chouette première lecture dès 7/8 ans (que l’on peut également aborder plus tôt en la partageant à voix haute avec un adulte) sur l’ouverture à l’autre, sur l’empathie, sur l’apprentissage, ce qu’est « grandir » (ou pas), sur ce cadeau magique qu’il est bon d’offrir, de redécouvrir… avec le sourire et un soupçon de rire. Vive la surprise !