Hier soir, j’ai lu le dernier numéro de la revue 6 mois « Des bêtes et des hommes ». Et autant vous dire que c’est un rendez-vous que je ne manque pas. J’aime le photo-journalisme, j’aime la maison d’édition qui le publie et les gens qui y travaillent, mais surtout, j’aime la lecture du monde qu’elle nous donne à voir. Et le monde va très, très mal.
Je ne vous apprends rien je sais, mais si nous avions un peu plus conscience de l’urgence de cette situation, nous travaillerions tous main dans la main pour arranger cela, quelle que soit notre orientation politique, quelle que soit notre religion, notre couleur de peau.
Ce monde qui nous a vu naitre nous survivra certes, mais subira longtemps après nous les stigmates de ce que nous lui avons fait subir, de ce que nous nous sommes fait subir.